lundi 29 octobre 2007

Cessons d’être égoïste.

En voyant cette course effrénée des plus grand constructeurs automobile vers la conception et la mise sur le marché de nouveaux modèles plus performants, plus beaux et plus concurrentiels une question se pose : « Quand est ce que la conscience écologique de ces constructeurs se réveillera un jour complètement et redirigera tout leurs efforts de travail et recherche vers la construction de nouvelles voitures qui respecte totalement l’environnement d’une planète de plus en plus fragile ».

Certes, je ne nierais aucunement que je suis un fou furieux du monde des quatre roues, (sinon pourquoi j’écrirais dessus) mais pas totalement au point de ne plus avoir une conscience écologique. En effet, vu la tournure qu’a prit notre monde aujourd’hui, je ne voie plus aucune raison de continuer à faire de la recherche pour fabriquer des voitures qui marche avec des produits dérivés du pétrole alors qu’ont sait à l’avance qu’un jour viendra - et selon les connaisseurs ça ne tardera pas à arrivée - où cette ressource s’épuisera ; et qu’il faut inévitablement se tourner vers d’autre sources d’énergie qui soient plus protectrice de l’environnement et aussi pour préserver la survie de l’espèce humaine et de toute les créatures terrestres, ou du moins ce qu’il en reste, dont dépend notre survis.

Je sais aussi que les recherches dans ce sens ne cesse pas d’évoluer et de nous dévoiler de nouvelles solutions prometteuses (moteurs hybrides, biocarburants, moteurs à piles électriques…), mais la questions est : quand est ce qu’on pourra avoir des véhicules totalement indépendant de l’industrie du pétrole. Une industrie qui ne cesse de causer du tort à notre chère planète et à tous ses occupants sur tous les plants. Elle n’affecte plus l’équilibre d’un environnement déjà mis en péril avant même la découverte du pétrole par une exploitation inapproprié des autres ressources au nom du développement et du confort de l’humanité.

Et cette pensée ne se limite pas à l’industrie automobile, même si elle est l’une des plus grande filière consommatrice d’énergie dans le monde, mais elle s’étend à tous les autres types d’industries qui existent tout simplement parce que tout le confort dont on joui aujourd’hui dépend une dépendance toxicomaniaque du pétrole. Imaginer une seconde ce qui nous arrivera si on s’arrête un jour de pomper du pétrole, je vais vous traduire ceci on une équation très simple ou il n y’a pas d’addition, de soustraction, de multiplication, d’intégrale ou autre chose que des égalités : Pas de pétrole = pas d’électricité (dans presque l’intégralité du monde) = pas d’industrie = (et à une échelle plus basse) pas de moyen de transport = pas d’administration active = pas de produits de grande consommation = paralysie totale de notre du monde tel qu’on le connais aujourd’hui = retour à l’âge de pierre = risque d’extinction de l’espèce humaine vu qu’on est pas des hommes de caverne et qu’on n’a pas leur savoir faire pour survivre.

Je sais aussi que le remplacement immédiat du pétrole par d’autre ressources naturelle (particulièrement les biocarburants sur lequel se concentre divers recherche maintenant) et ou impossible (vu la quantité qu’on doit produire et qui peut se substituer quantitativement au pétrole) ou néfaste (vu que la production de substitutifs aux dérivés du pétrole impliquera une concurrence aux autres produits agricoles d’alimentation).

Donc, et pour conclure ce billet, j’incite tout le monde à faire de son mieux pour préserver notre planète en commençant par revoir toutes nos habitudes et aussi tout les choix qu’on entreprenant et pour ainsi dire réfléchir à l’avenir des prochaines générations qui ne sont en fait que notre descendance.

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